Warholisation

Warholisation

vendredi 21 décembre 2018

Marché de Noël à Saint-Wendel

 Le week-end dernier (15-16 décembre), c'était week-end à thème "Weihnachten" (Noël).
 Chez nos amis à Sarrebruck (Allemagne, Sarre) et à Sankt Wendel, où se tenait le réputé St Wendeler Weihnachtsmarkt (marché du Moyen-Âge, marché des lutins, et autres).
 On a eu très froid (mais heureusement le temps fut sec et clair), à vaquer de chalet en chalet pendant des heures. Nous avons été récompensés par une bonne chute de neige dans la nuit de samedi à dimanche. On a regardé The Princess Switch, sur Netflix. J'ai découvert l'intéressant Sam Palladio, comédien british, et musicien, je note. On a mangé de bons petits sablés et petit déjeuné dans de la vaisselle de Noël (signée Villeroy et Boch). La veille au soir on avait grimpé sur la montagne pour admirer une grande crèche illuminée faite par des particuliers, particulièrement illuminés, fervents chrétiens.
 Le vin chaud a coulé à flots, ainsi que le jus de fruits chaud bien trop abondamment sucré...
La basilique est à visiter.
 Saint Wendelin est le saint patron des animaux domestiques. On ne peut que l'aimer pour cela.

mardi 11 décembre 2018

Cherished Christmas

 Plus qu'une quinzaine de petits jours, et c'est un nouveau Noël...
Je suis fin prête s'agissant de ma hotte, toujours richement pourvue, pour les enfants.
Qui ne croient plus au père Noël, heureusement finalement. Je préfère qu'ils croient en moi. Et en eux. En des choses plus réelles et perceptibles. La magie enfume l'esprit...


 J'ai demandé un "Cherished Teddy" pour Noël. Mais le père n'a pas l'air d'accord.
Ce n'est pas tant les Teddies, tous ont la même tête d'ailleurs, (je préfère, de loin, les "mouses", voire les quelques "cats", de la même designer, mais moins nombreux sur le marché français) que leur mise en scène qui me plaît. Le mouvement, les vêtements, les objets et décorations subtiles qui font une composition originale.


lundi 10 décembre 2018

Frère et soeur

 Vu en avant-première (et en VOSTF, ô joie et bonheur) dimanche matin, au Louxor, métro Barbès, Miraï, ma petite sœur, de Mamoru Hosoda (réalisateur notamment des Enfants loups en 2012 et du Garçon et à la bête en 2015).

 Miraï (signifiant l'avenir), c'est elle.


Kun, le grand frère, qui éprouve de la jalousie, c'est lui.


Dans son petit jardin, au pied du chêne, il vit des choses extraordinaires...


 Il voit et parle avec Miraï devenue adolescente.


 Il vit avec elle, mais aussi son chien personnifié, son grand-père à l'époque de sa jeunesse,  sa mère enfant, avec chacun des êtres qui comptent ou ont compté dans sa vie, des aventures qui l'aident à accepter l'arrivée de ce bébé, à l'aimer.
 Un récit joli et profond sur les liens familiaux. La difficulté d'être père (et au travail), mère (et au travail), grand frère... L'importance de la compréhension pour accéder à une sérénité qui ne peut qu'être relative, jamais acquise.

lundi 3 décembre 2018

Tout doux

Des livres pour enfants attirants (à la Fnac). Avec de si jolies illustrations.


 Un roman qui a l'air passionnant. Comme le fut pour moi récemment Les mystères d'Avebury, du même auteur.

 Une mignonne chatte qui apprécie mes derniers achats, un plaid "moutonnant" soldé chez Monoprix.

Un plaid ultra-doux, 5 euros chez Auchan.
À ce tarif-là, ce n'est pas cher payé, un peu de douceur dans ce monde de brutes...


Passage Choiseul, un magasin d'arts graphiques et de papeterie,
une adresse peut-être intéressante pour le chichou.


 Sinon, plutôt que de casser et piller, ou simplement manifester, samedi, je suis allée voir les marchés de Noël japonais (passage Choiseul) et suédois, rue Médéric (17e, non loin des manifestations des gilets jaunes). Tout était trop cher, mais joli. Un plaisir d'y être allée ce samedi.

mardi 27 novembre 2018

Sans en rajouter


 Ce week-end on a vu des bateaux sur l'eau. C'était assez beau, rendant bien en photo.




 Un vieux loup de mer m'a fait penser à Orson Welles. Ce génie, comme s'accordent à dire ceux qui l'ont connu.
La corpulence y est...




Puis on est allées, toujours entre filles, ce samedi, à un atelier de furoshiki.
D'abord on a appris à faire un joli nœud plat.



 Un pur moment de zenitude. Malgré la relative difficulté parfois à bien emballer. Le furoshiki est l'art du tsutsumi (emballage), avec un bout de tissu (ici signé Shiseido, et ce fut cadeau) pour le transport des vêtements (pour les bains publics) ou autres bento ou bouteille d'eau (pour les pique-nique). Le premier "éco-bag" en quelque sorte. La culture japonaise est proche de la nature...
 L'animatrice, tout en kimono et chaussures idoines, était si gentille. Venant toujours aider la choute (la seule enfant du groupe) et la féliciter.
 La dernière fois on avait cuisiné des okonomiyaki, et c'était très bien aussi. Cette année, c'est "Japonismes 2018"  : commémoration du 160e anniversaire des relations diplomatiques entre la le Japon et la France ainsi que le 150e anniversaire du début de l'ère  Meiji, qui marque l'ouverture du Japon à l'Occident. Et nous participons autant que nous pouvons  - entre contraintes (extra)scolaires et professionnelles - aux festivités proposées.



mardi 13 novembre 2018

Pour faire court

 Passé l'été, la rentrée aussi, la vie quotidienne a repris, faite en partie de sorties.


 Au musée Grévin, voir notamment Léonard de Vinci... On s'en serait passé, vu la foule qu'il y avait. Mais ça, c'est fait !
 Le passage Jouffroy, tout à côté, regorge de jolies boutiques. De vraies cavernes d'Ali-Baba, pour moi...


La maison du Roy,
baroque à souhait, à l'heure de Noël



Pain d'épices,
où l'on trouve tous les petits objets nécessaires aux maisons de poupée (vendues, chèrement, vides)

Entre deux sorties peaufinons notre cocon...

Les vitrines du Printemps, sans trop de monde devant



Le grand sapin central des Galeries Lafayette, cuvée 2018

Saint Jérôme écrivant
 Au musée Jacquemart-André, l'exposition Caravage bat son plein (de monde). Le chichou (bientôt en école d'art ? Après la terminale et le bac, quoiqu'il en soit) tenait à la voir. On a vu comme on a pu. Pour y entrer on s'y est pris à deux fois. Trop de monde le samedi, on est revenus le dimanche. Le tout sous la pluie battante du week-end du 11 novembre.
Ecce Homo

Saint-Jean-Baptiste au bélier



Vitrine des Galeries Lafayette

mardi 24 juillet 2018

Ma chouchoute


 Doris Day rit aux blagues de Gig Young, ce qui énerve Clark Gable.

 Doris Day, l'une de mes artistes favorites, a fêté en avril 2018 ses 96 printemps.

 J'ai récemment fait voir à la choute Le chouchou du professeur (Teacher's Pet) de George Seaton, comédie, que j'aime beaucoup (pour tout), sortie en 1958.
 Elle y a pour principaux partenaires masculins, Clark Gable (au crépuscule de sa vie), et Gig Young (qui a mal fini, 20 ans plus tard).

Dans un dancing se produit l'amie de Clark Gable, la "bombe" Mamie Van Doren,
 qui fait, ponctuellement, un peu d'ombre à Doris Day.

Joli bureau de Doris Day, à la gloire de feu son père, un journaliste, directeur de journal, ayant reçu le prix Pulitzer.

Gig Young se prépare une savante mixture contre la gueule de bois. Avec un œuf, et sa coquille... Quel plan cinématographique original sur sa mini cuisine de célibataire.

Le jeune acteur Peter Baldwin, qui tient un joli petit rôle d'apprenti journaliste diplômé, n'a pas eu la carrière qu'il semblait mériter.

lundi 23 juillet 2018

The Searchers


 Enfants et Mari partis c'est la fête qui commence pour moi : la période annuelle de grand ménage et rangement... Première chose : bouger le canapé. Sous celui-ci outre une poussière surabondante je trouve plein de souris. Poussiéreuses aussi. Maintes boulettes de papier aussi... Les jouets d'Iris-la-chatte-joueuse. Une botte de Barbie recherchée depuis des mois. Un stylo dont la choute pleurait la perte...
 Ce que j'aime le moins : ranger les papiers. Administratifs. Les affaires scolaires. Les dessins du chichou... Ça demande patience et longueur de temps. Mais je n'ai que force et rage.
 Entre choses diversement intéressantes voire affligeantes, je tombe sur quelques pépites. Ci-dessus et ci-dessous.



vendredi 20 juillet 2018

Moins que demain


 La choute trépignait gentiment d'impatience à l'idée de faire une surprise à son père pour son anniversaire jeudi. Dès potron-minet j'ai fait un gâteau au chocolat qu'elle a, avec amour, méticuleusement décoré. Dans l'après-midi nous nous sommes rendus, les enfants et moi, à la librairie de notre ville. Où, restés un  bon moment, nous avons sélectionné de quoi divertir et détendre son esprit pour des vacances estivales qui débutent pour lui ce samedi. Les enfants ont avec talent et humour décoré les pochettes cadeaux vertes de la libraire "mal embouchée". Et, une fois le fêté surpris et ravi, nous sommes allés en famille au restaurant chinois le plus proche, où nous sommes toujours bien reçus et servis.
 Parmi les ouvrages achetés il y a cette bande dessinée, que je ne peux que conseiller aux éprouvés de la vie de couple. Extraits :


Il vaut mieux rire que pleurer.

lundi 16 juillet 2018

Cure

 Au lieu de regarder un match de foot stressant forcément, j'ai fait une cure de cinéphilie. En regardant deux films que j'avais déjà vus, sans doute plusieurs fois, mais qui sont tellement bien qu'ils se revoient sans problème, surtout le deuxième, plus romantique et moins violent que le premier...

 Les incorruptibles de Brian de Palma, avec d'excellents acteurs, et de bonnes et belles idées tant de fond que de forme.



 Sur la route de Madison, de et avec Clint Eastwood dans l'un de ses meilleurs rôles, un personnage qui semble si éloigné de lui qu'il ne l'est peut-être pas... (Quoique Sondra Locke, l'ex-compagne, maintes fois trompée, qu'il a fichue à la porte, ne serait peut-être pas d'accord.)
Une très belle œuvre, de jolis ponts de bois...

mardi 10 juillet 2018

Vie sauve


 Paris sera toujours Paris, en tout cas dans les yeux "aquarellés" du chichou, qui m'a permis de trouver le moyen d'accéder à mon blog depuis l'ordinateur domestique (ce que je n'arrivais plus à faire). J'ai finalement - en tournant-virant, cherchant pendant pas mal de temps... - trouvé le crayon permettant d'ajouter un e-mail de contact... Ma vie est sauvée, au moins pour l'instant.

Et vogue le bateau !